Au moment où le livre perd parfois de son intérêt, l’annonce, le 10 octobre, de la désignation de Rabat « Capitale mondiale du Livre 2026 » par l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), suite à une recommandation du Comité consultatif de la Capitale mondiale du livre, vient réparer cette injustice à l’endroit de la lecture.
Dans son message de présentation, Audrey Azoulay, Directrice Générale de cette institution onusienne, a indiqué que la capitale du Maroc contribue à la préservation de la chaine du livre, avec 54 maisons d’édition, un salon international du livre et de l’édition parmi les plus dynamiques d’Afrique, ainsi que plusieurs librairies.
Après Strasbourg (2024) et Rio de Janeiro, l’année prochaine, l’initiative de l’UNESCO constitue une nouvelle illustration de l’engagement du Maroc en faveur de la promotion de la culture et de la démocratisation du savoir, l’un des chevaux de bataille du règne du Roi Mohammed VI.